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ERMP1: un nouveau combattant du stress cellulaire

Lorsque l'organisme est confronté à une maladie, les cellules subissent un stress, notamment au niveau du réticulum endoplasmique, une structure cellulaire clé responsable du repliement des protéines. Ce stress peut entraîner un dysfonctionnement cellulaire et contribuer à la progression de la maladie. La protéine ERMP1 a été détectée à des niveaux élevés lors de maladies rénales, mais son rôle reste un mystère: exacerbe-t-elle les dommages ou sert-elle de mesure de protection ?

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ERMP1 aide à réduire le stress cellulaire

Avec le soutien de la Faculté de médecine dans son parcours vers l'indépendance scientifique, la Dre Monika Gjorgjieva a entrepris d'étudier le rôle de la protéine ERMP1 dans les maladies rénales.

En intégrant des analyses de bases de données de patients à des études in vitro et in vivo, son équipe a résolu le débat : si les niveaux d'ERMP1 augmentent dans les maladies rénales, cette augmentation n'est pas nocive. Au contraire, ERMP1 agit comme un mécanisme de protection, aidant à limiter le stress du réticulum endoplasmique excessif causé par la maladie.

 

Implications potentielles

Ces résultats, , soulignent le rôle essentiel de la protéine ERMP1 dans la fonction rénale, suggérant un mécanisme de défense naturelle contre le stress cellulaire. La compréhension de ce mécanisme ouvre la voie à de nouvelles stratégies thérapeutiques ciblant le stress du réticulum endoplasmique dans les maladies rénales.

 

 

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3 mars 2025

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