Collaborateur-trices de l'enseignement et de la recherche
Fanny Audeoud

Fanny Audeoud
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Publications
Articles dans des revues à comité de lecture
« Les paratextes de Sleep : évolution de la réception d’une œuvre plurilingue » in Proietti, Paolo, Zaganelli, Giovanna (dir.), La ricezione dell'opera letteraria: fra traduzione e paratesto, Poli-Femo Nuova Serie di "Lingua e Letteratura", N° 28, Milan, Liguori Editore, 2024.
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Traductions
Schawe, Stefan, « Poème sonore/chant māori. Enquête sur le « Toto-vaca » de Tristan Tzara », Paroles spoliées. Itinéraires de la littérature orale, in Albers, Irene, Devevey, Eléonore (dir.), Gradhiva, décembre 2024, Trad. de l’allemand vers le français par F. Audeoud, [].
Articles dans des périodiques, rapports
« Paul Celans Schweizer Gefährte », Der Bund, Bern, 21.01.2022, [].
« Bernard Böschenstein, l’épistolier », Rapport annuel des Archives littéraires suisses, Berne, 2021, [].
Recherches
Fanny Audeoud est doctorante et assistante au sein du Programme de littérature comparée. Elle est titulaire d’un master en littérature comparée et d’un bachelor en langue et littérature françaises modernes et en langue et littérature allemandes. Elle a obtenu, en 2022, le Prix Marcel Compagnon de la Faculté des Lettres pour son mémoire de Master sur la figure de Rilke comme traducteur de Valéry et Maeterlinck.
Ses recherches portent sur le plurilinguisme, la traduction et la poésie du vingtième siècle.
Thèse en cours
Sa thèse de doctorat examine les différentes façons dont est exploitée, dans la poésie du vingtième siècle, la langue d’écriture seconde de poètes souvent connus pour leurs œuvres dans une langue d’écriture principale. Son corpus est constitué, entre autres, de Rainer Maria Rilke et d’Amelia Rosselli. Ce travail vise, d’une part, à explorer les mécanismes de la création poétique dans une langue différente de la langue d’écriture principale, et, d’autre part, à interroger la formation de canons poétiques à partir de données telles que la langue et la nation. Il s’agira de faire état de la plasticité de ces catégories, de les renégocier, et d’imaginer de nouvelles façons de lire ces textes à l’aune de nos observations.