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Aujourd’hui encore, bien des gens croient que le masculin l’emporte d’emblée sur le féminin dans la langue française et que c’est une fatalité. Or une professeuse (c’est le bon mot) martèle urbi et orbi, à coup de petits livres lettrés et lisibles, que le masculin n’a pas toujours dominé, que nos ancêtres s’y prenaient autrement. Dans son dernier ouvrage, En finir avec l’homme. Chronique d’une imposture (2021), elle revient sur cet abus historique de langage qui a consisté à étendre l’usage du terme «homme» à la dimension de l’humanité.
Dans le cadre du pré-festival
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IntroductionÌý:
Juliette Labarthe, directrice du Service égalité & diversitéÌý
Brigitte Mantillieri,ÌýConsultante, Référente UNIGE - LERU égalité & diversitéÌý
IntervenanteÌý:
, professeuse émérite, Institut universitaire de France, autrice de NonÌý! Le masculin ne l’emporte pas sur le fémininÌý! (2014) et de En finir avec l’hommeÌý: chronique d’une imposture (2021)
Stand de la Librairie PayotÌý
En partenariat avec la librairie Payot Rive Gauche
Quels sont vos ouvrages les plus récents et/ou pertinents par rapport à votre intervention? > sont inclus les parutions entre janvier et mars 2022
Non, le masculin ne l’emporte pas sur le féminin! Petite histoire des résistances de la langue française, 2e éd. augmentée, Editions iXe, 2017Ìý
L’Académie contre la langue française: le dossier «féminisation»,ÌýEditions iXe, 2016 (avec Maria Candea, Yannick Chevalier, Sylvia Duverger, Anne-Marie Houdebine)
En finir avec l’Homme. Chronique d’une imposture,ÌýEditions iXe, 2021
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