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Ensemble, ils ont ensuite développé un programme annuel d’animations portant sur des thèmes comme la biodiversité, les énergies ou l’électronique. Résultat: 20 places sont aujourd’hui à la disposition des membres de la communauté universitaire, pour les enfants de 6 à 12 ans, avec un accueil de 13h à 18h. «Mon objectif était de trouver une solution au problème de garde du mercredi tout en faisant la promotion de la science auprès des enfants, explique Anna Sfyrla.��Je suis très contente de voir que les filles��représentent la moitié des participant-es à ces ateliers d'expérimentation scientifique.» La prestation revient à 45 francs l’après-midi (ou 1650 francs à l’année). «Nous avons conscience que cette somme n’est pas anodine, en particulier pour les étudiant-es qui seraient intéressé-es, mais il fallait d’abord démontrer la faisabilité d’un tel projet en l’autofinançant, précise Jérôme Kasparian. Une fois le modèle éprouvé, nous devrions pouvoir compter sur des subventions internes afin de pouvoir élargir le périmètre des publics.»

Dans la foulée, une association de parents a été créée pour assurer le lien entre ces activités et l’���Ծ������������é et pour discuter ensemble de problématiques liées à l’enfance ou à l’adolescence. Ouverte à toutes et tous, elle compte déjà 40 membres et sa première assemblée générale, à laquelle chacun-e peut participer sur , se tiendra le vendredi 22 octobre à 12h15 à Sciences II. Après quelques semaines d’activité seulement, les enfants sont déjà conquis-es, à l’image du fils d’Anna Sfyrla qui a récemment demandé à sa maman: «Pourquoi ce n’est pas tous les jours, mais seulement le mercredi?»

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