Le GSI et le Festival du film et forum international sur les droits humains (FIFDH) - Du 9 au 18 mars 2018
Retrouvez toutes les informations concernant L'UNIGE et le Festival Ìýdu film et forum international sur les droits humains (FIFDH).
FILMMAKER, PHILANTHROPIST AND HUMAN RIGHTS ACTIVIST. A CONVERSATION WITH ABIGAIL DISNEY
VENDREDI 9 MARS | 12h15|ÌýUNI DUFOUR, salle U259
Mise à jour du 21 mars 2018
RENCONTRE
Abigail E. Disney is an Emmy-winning director and producer, philanthropist and the CEO and president of Fork Films. An active supporter of peacebuilding, she is passionate about advancing women's roles in the public sphere. Abigail’s films and series focus on social issues and spotlight extraordinary people who speak truth to power.Ìý
In 2008, she and Gini Reticker made the widely acclaimed documentary Pray the devil back to hellPRAY, which is broadly credited with highlighting the achievements of Leymah Gbowee, who received a Nobel Peace Prize in 2011. In 2009, Abigail created Fork Films, and produced the series Women, War and Peace, Citizen Koch, which attacked the Tea Party, The Invisible War, which denounced sexual abuse in the military, as well as Cameraperson, Oscar winner for Best Documentary. In 2015, she directed The Armor of Light, denouncing the links between the pro-gun lobby and evangelical Christians.Ìý
A passionante activist, the granddaughter of Walt Disney Company co-founder Roy O. Disney, she has publicly renounced her share of the family profits from an Israeli firm she claims is exploiting "occupied natural resources". She has Ìýalso publicly denounced the tax cuts of which she will benefit from in the US as well as the racism and sexism of her great-uncle, Walt Disney.Ìý
With other committed women, she recently created Killer Contents, which is rumored to be acquiring the Weinstein Company.
Co-présenté par le FIFDH et le Global Studies Institute (GSI) de l'UNIGE
²Ñ´Ç»åé°ù²¹³Ù¾±´Ç²Ô: Frédéric Esposito,ÌýGlobal Studies Institute (GSI) de l'UNIGE
FEMMES ISRAÉLIENNES ET PALESTINIENNE POUR LA PAIX
DIMANCHE 11 MARS | 13h45|ÌýESPACE PITOËFF, Grande salle
Carte blanche à Léo Kaneman, Fondateur et président d'honneur du FIFDH. Les initiatives du Women Wage Peace, la mobilisation des femmes israéliennes et des femmes palestiniennes du mouvement de résistance non violente est exemplaire. Leur seul objectif: la paix.
La situation en Israël et en Palestine est grave. Les tentatives de traités de paix ont échoué. La politique du gouvernement israélien encourage la colonisation des terres palestiniennes. Alors que faire dans un environnement géo-politique instable et menaçant ? Les mouvements de la société civile sont porteurs d'une lueur d'espoir. Un de leurs objectifs est d'éradiquer la haine et la peur de l'autre. Ils prônent ainsi une approche non violente du conflit basée sur l’écoute, la communication et la reconnaissance de l’Autre.
Julia Bacha, dans Naila and the Uprising, combine habilement l’animation avec des images d’archives pour raconter le parcours de Naila Ayesh et son rôle dans le soulèvement palestinien non-violent durant la Première Intifada.
INTRODUCTION
•ÌýFrédéric Esposito, politologue, chargé de cours au Global Studies Institute - UNIGE
•ÌýMassia Pougatsch, co-fondatrice et membre du comité de JCall Suisse
•ÌýFrançois Barras, président de l’Institut des Cultures Arabes et Méditerranéennes (ICAM)
FILM
•ÌýNaila and the Uprising, de Julia Bacha qui participera à un Q&A à l'issue de la projection
INTERVENANT-E-S
•ÌýAngela Yantian, représentante israélienne du Women Wage Peace
•ÌýAmanda Alarja, psychologue palestinienne, thérapiste des arts expressifs et militante pacifisteÌý
•ÌýModératriceÌý: Laura Drompt, co-rédactrice en chef du journal Le Courrier
Co-présenté par le FIFDH, leÌýmouvement Women Wage Peace, le Global Studies Institute de l’UNIGE (GSI), l’Institut des cultures arabes et méditerranéennes (ICAM) et JCall Suisse
QUI A DROITÌýÀ L'AUTODÉTERMINATION
DIMANCHE 18 MARS | 19h | ESPACE PITOËFF, Grande salle
Mise à jour du 21 mars 2018
Kosovo, Ecosse, Kurdistan d’Irak, Catalogne: tous invoquent un droit considéré comme fondamental, le droit à l’autodétermination des peuples.
En 2008, la proclamation d’indépendance du Kosovo, reconnue par plusieurs Etats, a pavé la voie de plusieurs régions abritant des mouvements séparatistes, en invoquant le droit à l’autodétermination. Alors que les proclamations récentes d’indépendance unilatérales du Kurdistan irakien et de la Catalogne sont catégoriquement rejetées par les pouvoirs centraux irakien et espagnol, et fortement réprimées, les mécanismes d’application et de garantie de ce droit semblent obsolètes. Assistons-nous à une évolution du droit à l’autodétermination, jusqu'à Ìýmaintenant réservé au contexte de la décolonisationÌý? Face aux Etats, les peuples s’organisent.
Catalogne : l’Espagne au bord de la crise de nerfs, de Sylvain Louvet, revient sur les origines de l’indépendantisme catalan et donne la parole à tous les protagonistes, indépendantistes et unionistes, afin de décrypter les enjeux d’une crise majeure.
FILM
Catalogne : l’Espagne au bord de la crise de nerfs, de Sylvain Louvet
INTERVENANT-E-S
- Carles Puidgemont, Ìýleader indépendantiste catalan
- Micheline Calmy-Rey, professeure invitée au Global Studies Institute de l’±«²Ô¾±±¹±ð°ù²õ¾±³Ùé de Genève, ancienne présidente de la Confédération
- Xavier Vidal-Folch, journaliste, El Pais
- Nicolas Levrat, professeur, Global Studies Insitute et directeur du département de droit international public à la Faculté de droit de l’±«²Ô¾±±¹±ð°ù²õ¾±³Ùé de GenèveÌý
Co-présenté par le FIFDH, et le Global Studies Institute (GSI) de l’UNIGE
14 février 20182018