Le Temps
Les actionnaires haussent le ton face à Crédit Suisse
S'il n'y avait eu que Greensill, Crédit Suisse aurait peut-être échappé aux pires critiques. Après tout, le cours de l'action avait été relativement épargné, malgré des pertes possibles à la suite de la faillite de la société britannique. Or l'implication de la banque dans une deuxième débâcle financière ce mois-ci irrite ses investisseurs.
« En soi, cette affaire n'est pas de nature à mettre en danger le système financier ou Crédit Suisse, les exigences en capital étant devenues plus sévères pour les banques dites too big to fail, estime Jean-Charles Rochet, professeur à la GSEM. En revanche, c'est une perte pour les actionnaires qui pourraient penser qu'elle devrait financer la transition énergétique plutôt que la spéculation. »
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2021