Module 6: Microcertification

Le Module 6 sur les infractions pénales, KYC et AML peut être suivi individuellement et faire l’objet d’une microcertification.

En bref

Objectifs

  • Comprendre les enjeux de la digitalisation dans le secteur bancaire et financier
  • Acquérir les bases juridiques permettant de faire face auxÌýdéfis que pose la digitalisation dans le secteur bancaire et financier
  • Intégrer des réflexions juridiques fondamentales qui permettent de réagir face à l’évolution attendue de la digitalisation dans le secteur bancaire et financier
  • Créer une communauté de spécialistes en matière de questions digitales dans le secteur bancaire et financier

Public

Praticien-ne du secteur bancaire et financier, y compris le secteur des assurances, du trading, de l'audit et du conseil; data protection officer (DPO), spécialiste en matière de compliance, de stratégie, de gestion des risques, de front ou back office; avocat-e d'affaires actif/ve dans le domaine du numérique; informaticien-ne travaillant dans le secteur bancaire et financier

Compétences visées

A la fin du programme, les participantes et les participants

  • ont acquis des connaissances et une compréhension des questions relatives à la régulation de la finance digitale, à la protection des données dans le domaine bancaire et financier, à l’évolution des contrats bancaires liée aux innovations technologiques, ainsi qu’à la propriété intellectuelle et au droit de la concurrenceÌý
  • sont capables d’analyser les situations juridiques complexes, en comprenant les sous-jacents technologiques, telles que l’application de la législation anti-blanchiment aux technologies financières ou des règles relatives au secret bancaire et à la protection des données en cas d’utilisation de services cloudÌý
  • disposent de bases de réflexion juridique solides leur permettant d’analyser les défis futurs que ne manquera pas de présenter la digitalisation croissante du secteur bancaire et financier, par exemple en lien avec l’augmentation constante des cyber-attaques et les exigences accrues de maintien de l’activité (business continuity)Ìý
  • ont amélioré leur capacité à communiquer, par écrit et par oral, leurs analyses juridiques liées à des projets de digitalisationÌý
  • ont développé leur capacité d’interaction avec les diverses catégories de professionnel-les actifs/ves dans le contexte de la digitalisation du secteur bancaire et financier, parmi lesquel-les des spécialistes en matière de compliance, de gestion des risques, ou encore de front ou back office
  • sont en mesure d’assister efficacement les dirigeant-es d’établissements bancaires et financiers dans le déploiement de projets de digitalisationÌý
  • ont noué un réseau étroit avec des professionnel-les faisant également face à des questions juridiques qui concernent la digitalisation du secteur bancaire et financier

Programme

8 modules:

  • Concepts essentiels de la numérisation et services bancaires numériques
  • Back-office numérisé
  • Actifs, acteurs et infrastructures numériques
  • Surveillance numérique et fraudes liées à la numérisation
  • Souveraineté monétaire et stabilité financière
  • Infractions pénales, KYC et AML (microcertification)
  • Cybersécurité et assurances
  • Branding numérique, open finance et concurrence

Titre obtenu

Le Certificat de formation continue en Droit de la finance digitale est délivré par la Faculté de droit de l’±«²Ô¾±±¹±ð°ù²õ¾±³Ùé de ³Ò±ð²Ôè±¹±ð aux participant-es ayant satisfait aux conditions de contrôle des connaissances des quatre modules.

Inscription

Délai d'inscription

9 janvier 2026
Inscriptions par module possible

Finance d'inscription:

  • CAS complet: CHF 10'600.-
  • Module 6: CHF 1'300.-

Conditions d'admission

  • Maîtrise universitaire, licence universitaire, baccalauréat universitaire de l'±«²Ô¾±±¹±ð°ù²õ¾±³Ùé de ³Ò±ð²Ôè±¹±ð, master ou bachelor d'une Haute École ou un titre jugé équivalent
  • Expérience professionnelle pertinente de 2 ans

Nombre de participant-es

Max. 30 participant-es

Dossier de candidature

  • Copie d’une pièce d’identité Ìý
  • Photo (portrait passeport, fond blanc, format jpeg) Ìý
  • Curriculum vitae Ìý
  • Lettre de motivation Ìý
  • Copie des diplômesÌý

Conditions d'annulation

Tout abandon avant le début du programme entraîne une facturation d’un montant de CHF 400.- pour frais de dossier. Dès le 1er jour de la formation, la totalité de la somme est due.


Cursus

±Êé°ù¾±´Ç»å±ð

mars 2026 - décembre 2026

°ä°ùé»å¾±³Ù²õ

12 crédits ECTS

Heures d’enseignement

60 heures enseignement en présence
40 heures enseignement en ligne

Horaires d'enseignement

Vendredi 13h30-18h30; Samedi 8h30-12h30

Les banques et les établissements financiers ont entamé depuis plusieurs années un mouvement important vers l’automatisation d’un certain nombre de leurs services, que ce soit dans leurs relations avec leurs client-es ou sur le plan interne. Il s’agit de répondre aussi bien aux besoins des client-es que d’améliorer l’efficacité de l’industrie financière et de réduire les coûts. À cela s’ajoutent l’irruption d’actifs digitaux et d’applications et développements informatiques modifiant grandement l’interaction avec les tiers (FinTech).
Le CAS en Droit de la finance digitale entend apporter une analyse juridique renouvelée de ces changements et contribuer à créer des bases de réflexion que les participant-es pourront continuer à mettre en pratique en tenant compte de l’évolution attendue de ces domaines.

Date(s)

13 mars 2026
14 mars 2026

Lieu

³Ò±ð²Ôè±¹±ð

Description

Ce module aborde les concepts clés de la numérisation des services bancaires et financiers. Le client qui entre en relation d’affaires avec la banque conclut une série de contrats (not. compte-courant, giro bancaire, mandat, dépôt irrégulier ou prêt de consommation).

Des risques particuliers naissent de l’utilisation d’un service e-banking, de la transmission d’ordres par courriel ou par le biais d’un smartphone. Il s’agira d’examiner quelle partie les supporte, dans quelle mesure et à quelles conditions.

La relation de base entre la banque et le client est d’autant plus complexe que l’établissement y intègre des conditions générales ou particulières. Nous verrons à quelles conditions les fictions de réception et de ratification opèrent face à des documents « accessibles en ligne ».

Lorsque le client entend investir, il peut en outre choisir d’exécuter lui-même les opérations, attendre un conseil ou confier à la banque le soin de les exécuter à sa place.

La dématérialisation des échanges, la technologie des registres électroniques distribués (p.Ìýex. blockchain) ou l’intelligence artificielle exigent des aménagements juridiques pour protéger l’investisseur ou la réinterprétation de règles existantes. Nous évoquerons l’effet de rayonnement réciproque des règles de droit privé et de droit public.

Nous nous familiarisons enfin avec les fonctions économiques des jetons de paiement, d’investissement ou d’utilité, de même qu’avec les modalités de constitution de droits-valeurs, simples ou inscrits, et leurs modalités de transfert.

Intervenant-es

Prof. Fabien Liegeois, ±«²Ô¾±±¹±ð°ù²õ¾±³Ùé de ³Ò±ð²Ôè±¹±ð

Date(s)

27 mars 2026
28 mars 2026

Lieu

³Ò±ð²Ôè±¹±ð

Description

Ce module examine la numérisation du back-office dans le secteur financier, avec un accent mis sur la gestion des risques et la conformité réglementaire.

Nous aborderons d’abord les mesures internes liées aux risques découlant de la numérisation, abordant les exigences réglementaires, la protection des données, et les aspects de sécurité et de résilience opérationnelle. Cette partie vise à fournir une compréhension solide des obligations légales et des meilleures pratiques.

Ensuite, nous explorerons la gestion des risques liés aux tiers (supply chain risk), en analysant les contrats avec les fournisseurs de services et partenaires commerciaux, ainsi que les risques juridiques associés. Le module abordera également des stratégies de négociation de contrats d’outsourcing.

Pour illustrer ces concepts, nous étudierons un cas pratique, comme l’utilisation d’une plateforme d’échange de documents de conformité, permettant aux participants d’appliquer leurs connaissances à une situation réelle de gestion de la conformité numérique.

Ce module vise à doter les participants des compétences nécessaires pour naviguer efficacement dans l’environnement juridique et réglementaire du «Ìýback-office numériséÌý», tout en leur permettant d’identifier et de gérer proactivement les risques associés à la transformation digitale.

Intervenant-es

Philipp FISCHER, Lenz & Staehelin

Date(s)

8 mai 2026
9 mai 2026

Lieu

³Ò±ð²Ôè±¹±ð

Description

Sur la base des principes présentés dans le Module 1, le Module 3 revient d’abord brièvement sur les concepts d’actifs et d’acteurs numériques dans une perspective économique et de droit privé, avant de les aborder de manière plus approfondie dans une perspective réglementaire suisse avec des références pertinentes aux droits européen et américain.

L’on s’intéresse ainsi à divers types de cryptoactifs (monnaies digitales ; titres de participation et dettes tokenisés) dans leurs fonctions de paiement, d’utilité et/ou d’investissement. En outre, le régime de surveillance applicable aux banques digitales et aux acteurs fintech est présenté et discuté.

Une fois les concepts d’actifs et d’acteurs numériques maîtrisés, le Module 3 attaque les questions réglementaires complexes liées aux infrastructures numériques, à savoir les plateformes et systèmes de négociation, les systèmes de conservation de valeurs mobilières digitalisées ou encore les systèmes de paiements.

Tout au long du Module, les intervenant-es et les participant-es examinent les risques pour les diverses parties prenantes et les moyens de les atténuer, ainsi que la pertinence des règles actuelles et les éventuelles améliorations possibles pour favoriser davantage l’innovation tout en protégeant les investisseur-es et les déposant-es.

Intervenant-es

Prof. Adrien ALBERINI, ±«²Ô¾±±¹±ð°ù²õ¾±³Ùé de ³Ò±ð²Ôè±¹±ð

Date(s)

29 mai 2026
30 mai 2026

Lieu

³Ò±ð²Ôè±¹±ð

Description

La première partie du Module 4 explore les technologies utilisées pour moderniser la surveillance et renforcer la gestion des risques dans le secteur financier.

Nous procédons à une analyse des outils permettant d’automatiser les processus de conformité et de surveillance (SupTech et RegTech), tels que la détection des anomalies grâce à l’intelligence artificielle et le développement d’outils spécifiques, comme le système de rating bancaire de la FINMA.

Ces approches favorisent une supervision proactive et basée sur les données.

La seconde partie du module se concentre sur les fraudes liées à la numérisation, notamment les ordres de virements frauduleux, la prise de contrôle de comptes ou encore les usurpations d’identité.

Les participant.es discutent des solutions de prévention, telles que les modèles de machine learning pour la détection des comportements suspects et la lutte contre le blanchiment d’argent.

Enfin, le module aborde les défis associés à l’intégration de ces outils dans les cadres juridiques existants.

Intervenant-es

Dr Célian Hirsch

Description

La banque qui emprunte les fonds des uns pour les prêter aux autres noue un lien de confiance avec ses clients qu’elle doit préserver en toutes circonstances. L’ordre juridique suisse contribue à renforcer ce lien à travers un système de privilège et de garantie des dépôts.

A l’ère du numérique, des réseaux sociaux et de l’intelligence artificielle, les capitaux circulent à une vitesse inédite. Si le phénomène du bank run ne date pas d’hier, sa version numérique surprend par sa fulgurance.

La diffusion et la propagation quasi-instantanée d’informations à l’aide d’algorithmes obligent à repenser ces mécanismes de protection pour intégrer l’influence de cette combinaison technique sur le comportement des clients et investisseurs.

Ce saut technologique oblige aussi à penser la question fondamentale de la politique monétaire et de la stabilité du système financier dont la compétence revient à la Banque nationale suisse.

Face à l’émergence de jetons de paiement issus du secteur privé, plusieurs Etats envisagent des réponses sous la forme d’une monnaie numérique de banque centrale. Si les avoirs à vue des banques commerciales en Suisse circulent déjà grâce à une base de données, la question se pose d’une « tokenisation » de cette monnaie sur une blockchain et des effets économiques de cette nouvelle étape.

Faut-il numériser les billets de banque? Peut-on imaginer que le public ait accès à la monnaie de banque centrale? Nous aborderons ces questions, entre autres, dans ce module stimulant.

Intervenant-es

Prof. Fabien Liegeois, ±«²Ô¾±±¹±ð°ù²õ¾±³Ùé de ³Ò±ð²Ôè±¹±ð

Date(s)

2 octobre 2026
3 octobre 2026

Description

Ce module examine les défis juridiques et réglementaires liés aux infractions pénales dans un contexte numérique.

Nous commencerons par explorer les infractions «ÌýITÌý» spécifiques au secteur financier, en analysant leurs implications juridiques et les mesures préventives. Le module abordera ensuite les délits d’initiés et la manipulation de marché dans un monde numérique, en examinant comment les technologies modernes peuvent faciliter ou prévenir ces pratiques illégales.

Une attention particulière sera portée au trading algorithmique et aux risques spécifiques liés aux actifs numériques, tels que les cryptomonnaies. Nous étudierons les cadres réglementaires actuels et émergents, ainsi que les défis juridiques posés par ces «ÌýnouveauxÌý» actifs et transactions.

Enfin, le module se concentrera sur l’utilisation d’outils numériques innovants dans la lutte contre le blanchiment d’argent. Nous examinerons comment les technologies telles que l’intelligence artificielle et l’analyse de données massives peuvent renforcer les processus KYC et AML, tout en discutant des implications légales et éthiques de ces approches.

Ce module vise à doter les participants d’une compréhension des enjeux juridiques liés aux infractions financières dans un environnement numérique, ainsi que des outils et stratégies pour y faire face.

Intervenant-es

Philipp FISCHER, Lenz & Staehelin

Date(s)

30 octobre 2026
31 octobre 2026

Description

Le Module 7 explore la manière dont la cybersécurité et l’intelligence artificielle (IA) transforment la gestion des cyberrisques dans le secteur financier, ainsi que le rôle central des assurances dans ce domaine.

La première partie du module analyse les principales cybermenaces, telles que les attaques par ransomware, le phishing ou les dénis de service, et leur impact sur la confidentialité, l’intégrité et la disponibilité des données.

L’utilisation croissante de l’IA dans la cybersécurité, notamment pour la détection des anomalies et la réponse en temps réel aux incidents, est mise en lumière.

Les participant.e.s découvrent également les cadres réglementaires suisses et européens, y compris les obligations de sécurité, le devoir d’annonce en cas de data breach, et les responsabilités juridiques liées aux violations de données.

Dans une seconde partie, le module aborde le rôle des assurances dans le transfert et la gestion des cyberrisques. Les polices de cyberassurance sont examinées sous l’angle des couvertures proposées, telles que les pertes d’exploitation, les frais de gestion de crise, ou encore les rançons.

Les implications de l’IA dans le domaine assurantiel, comme l’analyse prédictive pour la tarification des primes ou l’identification des vulnérabilités systémiques, sont également discutées. L’accent est aussi mis sur les clauses spécifiques aux cybercrimes, notamment les exclusions pour les actes de cyberguerre ou les amendes RGPD, et sur l’adéquation des contrats d’assurance aux technologies émergentes, comme l’IA.

Enfin, les participant.e.s participent à des exercices de simulation pratiques pour comprendre comment l’IA peut être intégrée dans les stratégies de réponse aux incidents, la gestion des polices d’assurance et la minimisation des impacts financiers, opérationnels et réputationnels d’une cyberattaque​.

Intervenant-es

Dr Célian Hirsch

Date(s)

13 novembre 2026
14 novembre 2026

Description

Si la technologie joue un rôle évident dans la numérisation du secteur financier, il en va de même des aspects de branding, comme le montre d’ailleurs le vocabulaire imagé souvent utilisé dans le monde des cryptoactifs et de l’intelligence artificielle.

Le Module 8 explore en premier lieu les options disponibles en matière de branding, la manière adéquate de protéger des dénominations ou encore les risques de violer les droits de tiers. On examine typiquement des questions telles que la possibilité de se prévaloir d’un « Swiss Made Software » ou la protection de cryptoactifs par le droit des marques.

En outre, sont abordées plus généralement des questions liées à la présence et la réputation en ligne, dans le cadre de l’utilisation et le monitoring de réseaux sociaux ainsi que le recours à des nouvelles méthodes de marketing.

Dans un second temps et à l’approche du terme du CAS, le Module 8 est l’occasion de se pencher sur les grandes tendances concurrentielles qui dessinent le futur fonctionnement du secteur bancaire et financier.

D’un côté, les mouvements qui relèvent de l’open finance vont vers davantage de collaboration entre acteurs établis et acteurs fintech.

D’un autre côté, les relations entre banques classiques et géants de la tech se tendent, ces derniers commençant à entrer dans le secteur financier ; cela conduit à diverses stratégies qui déclenchent l’application du droit de la concurrence.

Intervenant-es

Prof. Adrien ALBERINI, ±«²Ô¾±±¹±ð°ù²õ¾±³Ùé de ³Ò±ð²Ôè±¹±ð

Méthodes d'enseignement/modalités pédagogiques

8 vendredis après-midi, 8 samedis matin; flexibilité grâce aux séances live interactives en présentiel et à distance et aux capsules à visionner durant la semaine précédant les cours; études de cas, workshops, blended learning; interactions avec des praticien-ne-s.

Evaluation

Projets de groupes: résolution d'un cas pratique transversal servant de fil conducteur à travers les 4 modules.

Intervenant-es

Membres du corps académique, praticien-nes expérimenté-es au sein d’institutions bancaires et financières, expert-es en assurance, avocat-es au barreau

Intervenant-es de l’édition 2025 :

Ìý

, Centre de droit bancaire et financier
Walder Wyss
, ±«²Ô¾±±¹±ð°ù²õ¾±³Ùé de Zurich
, id est
, Lenz & Staehelin
, Swiss National Bank
, Centre de droit bancaire et financier
Prof. Yaniv Benhamou, ±«²Ô¾±±¹±ð°ù²õ¾±³Ùé de ³Ò±ð²Ôè±¹±ð
, Lenz & Staehelin
Alain Beuchat, Groupe Lombard Odier
, Centre de droit bancaire et financier
, Group DPO au sein du Groupe Pictet,
Alexandre Dyens, Tribunal fédéral
, Waeber Avocats
, Lombard Odier
, Lenz & Staehelin
Enrico Giacoletto, La RegTech easyReg
, FINMA
, ±«²Ô¾±±¹±ð°ù²õ¾±³Ùés de Zurich et Lausanne, ancien Président de la Commission de la concurrence
, Centre de droit bancaire et financier
, Swissquote
, NETGUARDIANS S. A
Julien Levis, EFG Bank
Prof. Fabien Liégeois, Centre de droit bancaire et financier
Katharina Martin, Credit Suisse
, Walder Wyss
Simona Mulinari Fleury, Lombard Odier
, CMS von Erlach Partners
Stiliano Ordolli, BCGE
, Lombard Odier
, PAZ Consultants
Cédric Remund, Ministère public de la Confédération
Claudio Tognella, BX Digital
Prof. Katia Villard, Centre de droit bancaire et financier

Ìý

Nouvelles technologies et établissements financiers (Webinaire du 10.2.2022)
Teaser Saisir les enjeux juridiques de la numérisation du secteur financier CAS DFL
Intelligence artificielle (webinaire 21 janvier 2025)
Jacques Luyet, Head of tax
Sandra Nobler, Legal Counsel
Témoignage Abdul Carrupt, avocat
Témoignage Natalie Graf, spécialiste Légal
Témoignage Steewen Jolimay, Spécialiste Compliance

Direction

Prof. Adrien ALBERINI, Faculté de droit, ±«²Ô¾±±¹±ð°ù²õ¾±³Ùé de ³Ò±ð²Ôè±¹±ð

Coordination

Megumi MOSCA, ±«²Ô¾±±¹±ð°ù²õ¾±³Ùé de ³Ò±ð²Ôè±¹±ð

Comité directeur

  • Dr. Adrien ALBERINI, ±«²Ô¾±±¹±ð°ù²õ¾±³Ùé de ³Ò±ð²Ôè±¹±ð et Sigma Legal, ³Ò±ð²Ôè±¹±ð
  • Prof. Yaniv BENHAMOU, ±«²Ô¾±±¹±ð°ù²õ¾±³Ùé de ³Ò±ð²Ôè±¹±ð et Aegis Partners LLC, ³Ò±ð²Ôè±¹±ð
  • Philipp FISCHER, Oberson Abels, ³Ò±ð²Ôè±¹±ð
  • Dr. Célian HIRSCH, Maître-assistant au Centre de droit bancaire et financier
  • Prof. Fabien LIÉGEOIS, ±«²Ô¾±±¹±ð°ù²õ¾±³Ùé de ³Ò±ð²Ôè±¹±ð

Comité scientifique / Conseil scientifique

  • Tony BERRADA, Professeur en finance au Geneva Finance Research Institute de l’±«²Ô¾±±¹±ð°ù²õ¾±³Ùé de ³Ò±ð²Ôè±¹±ð
  • Maria-Antonella BINO, docteure en droit, Group General Counsel de la banque Vontobel
  • Alain GIRARD, Docteur en droit, économiste, membre de la direction et chef de la division Recovery et Resolution de la FINMA
  • Jean-Philippe NERFIN, Group General Counsel chez Pictet
  • Stéphanie PIERRET, Directrice et Responsable Financial Lines chez B.C.D.T. & Associés SA

Contribution aux objectifs de développement durable